
Game of Thrones, saison 4 : quatre choses à savoir sur le season premiere
C’était l’événement de la semaine pour les GoTers : Le Grand Rex accueillait, ce mercredi à Paris et en avant-première, le tout premier épisode de la saison 4 de Game of Thrones. OCS et MyWarner, les organisateurs de la projection, avaient convié pour l’occasion Sophie Turner (Sansa Stark), Maisie Williams (Arya Stark) et Liam Cunningham (Ser Davos Seaworth). Le Daily Mars était de la partie… et voici ce qu’on a retenu. Le tout sans spoiler (mais si vous voulez vraiment ne rien savoir, évidemment, ne lisez pas la suite).
1. Two Swords est une reprise efficace
On peut dire que les retrouvailles sont réussies. Replonger dans Game of Thrones avec toutes ses intrigues, la multiplicité des « théâtres d’opération » et l’enchevêtrement de relations entre les personnages est bien conduit. La raison ? L’épisode file assez vite en passant d’une question à l’autre et il bénéficie de deux temps forts.
2. Un nouveau personnage entre en piste
Pour ne pas déflorer la surprise à ceux qui n’ont pas lu les livres (c’est le cas de l’auteur de ces lignes : il ne sait pas lire), on va slalomer entre les informations. Et juste dire que la poignée de scènes qui l’introduise dans l’histoire font partie des moments forts, justement. Son intégration à l’histoire est bien conduite et il amène le spectateur à s’interroger sur la place qu’il prendra dans cette saison 4.
3. Le final de l’épisode marche bien
Slalom toujours : il place Arya et Sandor Clegan sous le feu des projecteurs et offre une scène dans laquelle la tension connaît une belle progression. Ce n’est pas non plus la scène la plus hallucinante que la série ait offerte (en la matière, il y a, il est vrai, de la marge) mais cela a le mérite de bien drainer le rythme de l’épisode.
4. Les prémices d’une saison encore plus tendue ?
Lors de la présentation de la soirée, Liam Cunningham a expliqué aux fans que si, lors des deux dernières saisons, « les problèmes débarquaient en fin de saison, cette année, ils surviendront plus tôt. Certaines choses folles vont arriver très vite ». On demande à voir… mais on confirme : la reprise, à défaut de coller une baffe d’entrée à l’auditoire, remplit bien son office.