Gravity : 3e video, « I’ve got you »

Après deux extraits vidéo communiqués sur le web par Warner bros lundi et mercredi, voici un 3e et dernier extrait avant le début d’une nouvelle montée en puissance promotionnelle de Gravity autour du festival de Venise, dans un peu plus d’un mois. Nous en sommes donc à quatre vidéos dévoilées à ce jour sur la Toile, en comptant le premier teaser révélé voici deux mois déjà. Le film fera l’ouverture de la 70e Mostra, le 28 août. Il sera également montré au festival de Toronto et sortira donc en France le 23 octobre.

Que dire, si ce n’est que ce troisième extrait sidère une fois encore par sa tension terrifiante et sa virtuosité implacable. Une projection ultra secrète à laquelle furent conviés un tout petit quarteron de journalistes triés sur le volet s’est visiblement tenue à Londres tout récemment et les échos sont, comme prévu, stratosphériquement dithyrambiques. Gravity tiendrait bel et bien ses promesses. Patience : confiante de la bombe qu’elle tient dans ses mains, Warner montrera le film à la presse sans se faire prier à la rentrée, mais après Venise. J’ajoute que le score, signé Steven Price, a l’air lui aussi assez démentiel.

Gravity, d’Alfonso Cuaron. Sortie nationale le 23 octobre 2013 (durée :  90 minutes).

Rappel synopsis : Pour sa première expédition à bord d’une navette spatiale, le docteur Ryan Stone, brillante experte en ingénierie médicale, accompagne l’astronaute chevronné Matt Kowalsky (George Clooney). Mais alors qu’il s’agit apparemment d’une banale sortie dans l’espace, une catastrophe se produit. Lorsque la navette est pulvérisée, Stone et Kowalsky se retrouvent totalement seuls, livrés à eux-mêmes dans l’univers. Le silence assourdissant autour d’eux leur indique qu’ils ont perdu tout contact avec la Terre — et la moindre chance d’être sauvés. Peu à peu, ils cèdent à la panique, d’autant plus qu’à chaque respiration, ils consomment un peu plus les quelques réserves d’oxygène qu’il leur reste. Mais c’est peut-être en s’enfonçant plus loin encore dans l’immensité terrifiante de l’espace qu’ils trouveront le moyen de rentrer sur Terre…