
MOVIE MINI REVIEW : 12 Heures
Quinze ans après l’übermongolo CON AIR (aka LES AILES DE L’ENFER), le duo Simon West/Nicolas Cage se reforme pour le plus grand plaisir de nos neurones en mal de sensations fortes et de nanars tonitruants ! Et c’est pas ce pauvre thriller (qui date de 2012 et qui débarque seulement maintenant par chez nous, vive les sorties techniques d’été !) au pitch ultra éculé qui va redorer le blason de ce grand malade de Nicolas Cage, l’homme qui tourne (des navets de préférence) plus vite que son ombre…
Dans ce STOLEN (rebaptisé 12 HEURES en français), notre ami joue les braqueurs de banque superbalèze (genre tellement puissant qu’il ridiculise 5608765424168704684684 agents du FBI sans les mains) mais avec une conscience tu vois… C’est Nicolas Cage quand même bordel… Mais bon. Il se fait quand même choper (tout en ayant eu le temps de cacher un super magot de 10 millions $), et zou, direction prison. À peine sorti, son méchant-méchant très méchant ex-complice kidnappe sa fifille chérie (et complètement débile) pour l’obliger à lui filer la tunasse disparue !! Et le suspense crétin peut commencer ! Nan mais quel truc pantouflard et minable !! Nicolas court avec ses vieilles jambes toutes rouillées des genoux dans les méandres d’un scénario pathétique (ouais, Nicolas Cage, il est tellement fort qu’il peut courir dans des méandres, ok !)… Quelle décadence. Quelle tristesse. Quel navet atomique !
En salles depuis le 24 juillet
2012. USA. Réalisé par Simon West. Avec Nicolas Cage, Josh Lucas, Danny Huston…
Vous notez ce film 2 sur 5.
Il est donc meilleur que pacific rim?
(moi, j’ai trouvé que c’était un bon petit film de dimanche aprem sur sa tv.)
Ils n’ont surement tous les deux aucun interêt.
Et je pense que la rédac du Daily Mars ainsi que la plupart de ses lecteurs assidus ont depuis lomgtemps dépassé le stade du « petit film du dimanche soir à la télé ». Moi je réserve ça à ceux qui n’y connaissent rien et qui iront voir ce film, en VF. D’ailleurs la rédac et ses lecteurs ne regardent surement plus la télé tout court.
Là doc, aller voir ça, c’est du masochisme aussi…^^
Quand Nicolas Cage est au casting, il faut s’attendre au pire, s’y rendre sans espoir pour dans la plupart des cas ne pas être déçu de ne rien trouver et, miraculeusement, dans un film sur dix (ou quinze au rythme où s’est parti) découvrir une merveille où son talent transparait enfin (lord of war, où es-tu passé ? Peut être Nicolas Cage devrait-il en fait vendre des armes pour payer ses impôts..!).
Prochaine lueur d’espoir (faible): frozen ground.
Hautes espérances pour Joe, Amicus et Frank or Francis.
Tristesse pour l’annulation du projet Wrath.
Le reste docteur n’est pas à prescrire 😉