MOVIE MINI REVIEW : critique de Tracers
Amis de la lobotomie au marteau piqueur sans anesthésie locale bonjour! Et bienvenue dans le nouveau temple du crétinisme cinématographique dédié à la gloire du Dieu nanar Luc Besson et de ses évangiles Europacorpesques… Voici TRACERS, rencontre dégueulasse entre les YAMAKASI de sinistre mémoire et l’immonde PREMIUM RUSH, ce gigantesque massacreur de neurones. Et c’est l’endive transgénique Taylor ‘je dois mon semblant de carrière à mes nichons et à la saga TWILIGHT’ Lautner qui joue les starlettes prépubères à duvet dans cette arnaque pour jeunes zaventurier zurbains du monde moderne… TRACERS c’est un peu le ROMEO ET JULIETTE pour crétins des villes. D’un côté Cam le coursier à vélo et de l’autre côté Nikki l’adepte du parkour (ces jeunes écervelés du cerveaux qui courent et sautent partout dans les villes comme dans BANLIEUE 13 et son immonde remake BRICK MANSION).
Il faut pas oublier de débrancher son cerveau (et de le ranger dans un endroit sûr) avant de regarder ce truc pathétique, véhicule psychotronico-branchouille à la gloire d’un Taylor Lautner que tout le monde a déjà oublié. Les bellâtres interchangeables se ramassent à la pelle dans ce monde impitoyable. Le crétinisme intergalactique règne en maitre dans ce pitoyable TRACERS, photocopie paresseuse des pires teenage movies énervés de ces dernières années. Un soupçon de FAST AND FURIOUS (lui-même plagiat à arbre à came en tête de POINT BREAK), des hectolitres des pires productions Europacorp et du foutage de gueule à tous les étages. C’est tout ça TRACERS… Et bien plus encore! L’enterrement en grandes pompes d’un (faux) beau gosse sans talent ni avenir, le pathétique Taylor Lautner. Quel navet grotesque… Même les pires tacherons à Besson sont incapables de filmer une purge pareille… C’est dire l’étendu des dégâts…
En salles depuis le 25 février
2014. USA. Réalisé par Daniel Benmayor. Avec Taylor Lautner, Marie Avgeropoulos, Rafi Gavron…
Bande-annonce : Tracers – VOST par PremiereFR
