
MOVIE MINI REVIEW : Die Hard : Belle Journée Pour Mourir (aka A Good Day To Die Hard)
Le gars John Plissken a déjà tout dit ici mais bon, le Dr No aussi a envie de se joindre au concert de louanges…
La triste franchise DIE HARD (un chef d’œuvre signé John McTiernan, un actionner taré signé Renny Harlin et deux navets, oui le troisième film était déjà une trahison les gars) continue de s’enfoncer dans la nullité atomique! Ça tombe bien, dans cet épouvantable cinquième opus, John McClane et son fiston (l’ectoplasme Jai Courtney, vu dans le navet JACK REACHER et la série à nichons SPARTACUS) s’en vont pulvériser de la caricature (pas du tout raciste mais alors pas du tout) de vilains oligarques russes trafiquants d’uranium dans les décombres abandonnés de Pripiat, prêt de Tchernobyl (c’est pas en Russie mais c’est tout pareil pour les scénaristes hollywoodiens cocaïnés du nez et décérébrés du cerveau). Ceux qui pensaient naïvement avoir vu cette saga toucher irrémédiablement le fond avec un DIE HARD 4 proprement dégueulasse vont être stupéfaits par ces nouvelles aventures de papy Bruce ‘je prends la thune et je vous emmerde tous’ Willis… Parti à Moscou rejoindre son fils accusé de meurtre, John McClane va se retrouver au milieu d’un complot incompréhensible et spectaculairement mongolien… Réalisé par le tocard intergalactique John Moore (MAX PAYNE, les remake minables de LA MALÉDICTION et LE VOL DU PHOENIX), DIE HARD : BELLE JOURNÉE POUR MOURIR rivalise d’ineptie avec les pires DTV bulgares de Steven Seagal ou Jean-Claude Van Damme! Mais avec un budget délirant (presque 100 millions de $)! Résultat on assiste à un « spectacle » hallucinant de connerie et de non-sens visuel (c’est filmé n’importe comment on comprend jamais rien) permanent. Quant au bidule qui sert de scénario… Bref, ce truc n’est rien d’autre qu’un foutage de gueule honteux et mercantile… Une putain d’arnaque quoi! (ouais bien envoyé, Docteur ! Et mate l’affiche hé, j’y rajouterais bien « like shit »… NDJPlissken)
En salles depuis le 20 février
2013. USA. Réalisé par John Moore. Avec Bruce Willis, Jai Courtney, Sebastian Koch…
Bonne Nouvelle, John n’a que deux enfants 😀
ouais mais attention! on n’est pas à l’abri d’un enfant caché dans l’épisode 6 qu’on risque de se prendre dans la tronche vu le succès insensé de ce truc!
Alors pour le coup, j’aimerai bien que le docteur m’explique en quoi le 3 était un navet.
C’est simple, pour moi c’est LE film d’action, qui devrait servir de modèle…
hahaha je savais que j’allais me faire de nouveaux amis 😀
Le 3 m’ennuie profondément. Et les innombrables impasses scénaristiques qui transforment les deux héros en êtres littéralement indestructibles, sans compter la mort du méchant expédiée en 5 seconde, j’ai trouvé ça insupportable. Ça allait trop loin et ça allait à contre sens des deux premiers, deux huis clos…
Après l’épisode 3 est une des matricies des kilomètres d’actioners mongolo qu’on se cogne en ce moment!
Ah non pas d’histoires d’ennemis entre nous pour un film hein
Le seul truc sur lequel je converge avec toi, c’est la mort du méchant expediée en 5 sec. A ça j’annote juste d’un « se repose sur ses acquis, peut mieux faire »
Par contre en terme de rythme, je trouve le film incroyablement maitrisé. Le film ne s’embete pas d’une mise en place inutile : ca commence par un boum, en 5 minutes on sait que Mclane est au fond du trou, en lendemain de gueule de bois (super idée je trouve, pour ce qui est du caractere et du comportement du personnage) et quelques minutes après on est déjà dans le vif du sujet. Lorsqu’il n’y a pas d’action, il y a quand meme du rythme (harlem, les enigmes…) Le « simon says » est un gimmick habile pour lier le tout, et il faut admettre que le plan du bad guy est vraiment habile.
C’est LE film qui est sans le pire ennemi du film d’action : les longueurs. – See more at: https://dailymars.net/movie-mini-review-die-hard-belle-journee-pour-mourir-aka-a-good-day-to-die-hard/#comment-14052
Ah non pas d’histoires d’ennemis entre nous pour un film hein 🙂
Le seul truc sur lequel je converge avec toi, c’est la mort du méchant expediée en 5 sec. A ça j’annote juste d’un « se repose sur ses acquis, peut mieux faire »
Par contre en terme de rythme, je trouve le film incroyablement maitrisé. Le film ne s’embete pas d’une mise en place inutile : ca commence par un boum, en 5 minutes on sait que Mclane est au fond du trou, en lendemain de gueule de bois (super idée je trouve, pour ce qui est du caractere et du comportement du personnage) et quelques minutes après on est déjà dans le vif du sujet. Lorsqu’il n’y a pas d’action, il y a quand meme du rythme (harlem, les enigmes…) Le « simon says » est un gimmick habile pour lier le tout, et il faut admettre que le plan du bad guy est vraiment habile.
C’est LE film qui est sans le pire ennemi du film d’action : les longueurs.
Je penche plutot pour Lopercule, meme si le premier Die Hard reste pour moi définitivement au dessus de DHWAV. Mais ce dernier, dans ses trois premiers quarts, est tout de meme hallucinant avec en plus un vrai projet de mise en scène qui a été totalement repompé par les Bourne sept ans plus tard. La fin baclée est imputable à la Fox qui l’a imposée au montage à McTiernan (la fin alternative visible sur le DVD déchire quand meme beaucoup plus). Non quand meme, c’est un super film quoi (l’ouverture, rien que l’ouverture, truc de dingue !).
On est d’accord sur le fait que la fin de Die Hard 3 (que je préfère 1000 fois au 2) était super expédiée et bien nulle, rendant le film sympathique, mais sans plus. Jusqu’à ce que je vois la fin alternative, enfin celle qui a d’abord été tournée avant d’être censuré par la prod et Mr Willis qui ont préféré retourner une autre fin, sans McTiernan.
Bref, dans cette première fin, Grüber parvenait à mettre les voiles. Quelque moi plus tard, on retrouve McClane dans un café en Allemagne qui s’assoie en face de Grüber.
Ils ont un petit échange verbale, genre « tu peux rien contre moi connard de flic newyorkais ». McClane finit par abattre Grüber au silencieux, discret, par dessous la table. Puis il se lève calmement, sort du bar et on finit sur un plan général sur la bar avec dans un coin, le corps de Grüber encore assis. Pas de musique, rien ! Magnifique !
Je vais voter Dr No sur Die Hard 3 – A.K.A. DHWAV – Certes il y a une mise en scène assez sublime, mais le film est plombé par un projet sans intéret, une redite du premier opus mâtiné de Pulp Fiction (sorti l’année d’avant), tout en clichés.
C’est certes toujours mieux que Rollerball, du même McT (mais qu’allait-il donc faire dans cette galère), mais très en dessous des plus grandes réussites du réal.
DHWAV je vote définitivement pour le bon Dr. No
mais merci quoi!!!
sinon ressortir du placard l’invraisemblable ROLLERBALL c’est diablement pervers!
j’adore 😉
Bon, les gars, il faut bien que quelqu’un vous le dise…
On dit John Mac Clane et pas John Mac Lane…
😉
Ayé, j’ai corrigé pour le Dr No. Et une grosse tape sur ses doigts ainsi que sur les miens pour pas avoir fait attention à cet écorchage SCANDALEUX ! Merci mon gars 🙂
honte sur moi!
Bon en fait, c’est un peu plus long que ce que dans mon souvenir, mais bordel, pourquoi ont-ils coupés cette fin !
https://www.youtube.com/watch?v=RSVwuFsiZv4
Je l’ai decouvert il y’a peu. J’ai cru comprendre que mctiernan lui meme n’aimait pas cette fin, McClane (oui je viens de l’ecrire correctement pour la premiere fois, merci WILDGUNSLINGER) devenant particulierement froid d’une maniere un peu soudaine comparée au reste du film.
Mais quelle chochotte ce McTiernan.