
War Machine : 3’10 en entier cette fois, voilà…
Depuis quelques jours, War machine est le second titre extrait de l’album Black Ice d’AC/DC circulant sur le web, après Rock’nroll train. R’n’r’T m’avait déjà transformé en kangourou ivre de joie. Mais là….
Avec War machine, c’est carrément l’orgasme. Ce titre renoue avec les plus belles pages de l’histoire d’un groupe monumental qui, contre toute attente, vient de pondre avec Black Ice, leur 16e album, un disque prodigieux, émouvant et… novateur, oui oui ! Je posterai prochainement une petite critique de Black Ice. Huit ans qu’ils auront mis à la pondre, leur nouvelle galette, après le plutôt raté Stiff upper lip, nos papys rockers. Mais l’attente en valait vraiment la peine.
Pour l’heure, j’ai juste envie de déclarer mon amour pour ces mecs, ces sacrés quinquas dont la musique me remue toujours autant les tripes qu’elle me tire presque les larmes tant elle irradie la fougue, la sincérité et la foi dans le rock et le blues. Je tape ces lignes tout en écoutant le mi majeur vibrant de War Machine, hanté par un riff tournant magnifique des frères Young, la voix rocailleuse et habitée de Brian Johnson, la basse sensuelle de Cliff Williams et la batterie, ce putain de son de batterie implacable, de Phil Rudd. Et ces choeurs mes enfants, ces choeurs !…. « War… Machine ! »
Et je tape ces lignes la chair de poule aux avants bras, le sourire aux lèvres et une légère humidité cristaline. Oui j’avoue, il m’en faut peu. Sorry pour la niaiserie du post, mais fallait que ça sorte !
Ecoutez plutôt et je vous mets au défi de me dire que rien ne vous interpelle dans ce titre certes simple et direct, mais d’une pureté rock à vous pétrifier sur place.